Motorisations alternatives
Les automobilistes allemandes font preuve de retenue
9 mars 2020 upsa-agvs.ch – La plupart des automobilistes allemands associent la voiture à des aspects positifs. Dans certains domaines, toutefois, les femmes et les hommes ne pensent pas de la même façon.
cst./pd. Comme l’indique l’étude des tendances «automobiliste-garagiste», la voiture occupe une place importante en Suisse. En Allemagne, la situation est similaire: l’analyse de Deutschen Automobil Treuhand GmbH (DAT) a montré que plus de 90% des acheteurs privés estiment que leur mobilité est limitée sans leur véhicule.
Désormais, le groupe DAT analyse plus en profondeur les résultats de son rapport 2020 et effectue une évaluation spéciale des participantes à l’étude. Il s’agit, en particulier, de déterminer le rapport que les acheteuses de nouveaux véhicules et les propriétaires de véhicules de tourisme ont avec la voiture et avec la mobilité automobile.
Aspect intéressant: dans certains domaines, les femmes n’ont pas le même point de vue que les hommes, par exemple lorsqu’il s’agit d’acheter une voiture. Tous les participants à l’étude ont évalué 19 critères donnés en attribuant l’une des notes suivantes: «très important» (1), «important» (2), «moins important» (3) ou «pas important» (4). Tandis que le critère de l’impact sur l’environnement n’obtient qu’une note moyenne de 2,17 parmi les hommes, les acheteuses de nouvelles voitures y accordent plus d’importance. L’impact sur l’environnement obtient la note de 1,95. Dans l’ensemble, ce critère se place dans le tiers inférieur du classement, bien que le climat fut très présent dans les débats publics en 2019.
Le critère concernant les véhicules limitant la consommation de carburant présente également des écarts de notation. 67% des acheteuses de nouveaux véhicules paieraient plus d’argent pour un véhicule à faible consommation de carburant. Pour un véhicule émettant moins de CO2, 57% d’entre elles y mettraient le prix fort. En ce qui concerne les propulsions alternatives, en revanche, les femmes sont plus prudentes. Comme le montre la nouvelle évaluation spéciale du groupe DAT, seuls 95% des acheteuses de nouveaux véhicules ont répondu oui à la question de savoir si elles envisageraient l’achat d’un véhicule équipé d’une motorisation alternative. Pour comparaison, les hommes étaient 38% à répondre par l’affirmative.
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cst./pd. Comme l’indique l’étude des tendances «automobiliste-garagiste», la voiture occupe une place importante en Suisse. En Allemagne, la situation est similaire: l’analyse de Deutschen Automobil Treuhand GmbH (DAT) a montré que plus de 90% des acheteurs privés estiment que leur mobilité est limitée sans leur véhicule.
Désormais, le groupe DAT analyse plus en profondeur les résultats de son rapport 2020 et effectue une évaluation spéciale des participantes à l’étude. Il s’agit, en particulier, de déterminer le rapport que les acheteuses de nouveaux véhicules et les propriétaires de véhicules de tourisme ont avec la voiture et avec la mobilité automobile.
Aspect intéressant: dans certains domaines, les femmes n’ont pas le même point de vue que les hommes, par exemple lorsqu’il s’agit d’acheter une voiture. Tous les participants à l’étude ont évalué 19 critères donnés en attribuant l’une des notes suivantes: «très important» (1), «important» (2), «moins important» (3) ou «pas important» (4). Tandis que le critère de l’impact sur l’environnement n’obtient qu’une note moyenne de 2,17 parmi les hommes, les acheteuses de nouvelles voitures y accordent plus d’importance. L’impact sur l’environnement obtient la note de 1,95. Dans l’ensemble, ce critère se place dans le tiers inférieur du classement, bien que le climat fut très présent dans les débats publics en 2019.
Le critère concernant les véhicules limitant la consommation de carburant présente également des écarts de notation. 67% des acheteuses de nouveaux véhicules paieraient plus d’argent pour un véhicule à faible consommation de carburant. Pour un véhicule émettant moins de CO2, 57% d’entre elles y mettraient le prix fort. En ce qui concerne les propulsions alternatives, en revanche, les femmes sont plus prudentes. Comme le montre la nouvelle évaluation spéciale du groupe DAT, seuls 95% des acheteuses de nouveaux véhicules ont répondu oui à la question de savoir si elles envisageraient l’achat d’un véhicule équipé d’une motorisation alternative. Pour comparaison, les hommes étaient 38% à répondre par l’affirmative.
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